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(4-8 Juillet, propositions de symposiums jusqu’au 2 avril)
à compter du 1er Avril 2021 pour clarifier le rôle du comportement des fermiers vis-à-vis de la faune sauvage et évaluer son impact sur les risques de transmission de maladies infectieuses vers les populations animales domestiques
à compter du 1er Avril 2021 pour modéliser la dynamique de transmission de la fièvre aphteuse en Afrique sub-saharienne et évaluer les stratégies de lutte les plus efficace.
February 2 and 3, 2021 – Virtual Meeting. (février 2021)
Le 10 et le 11 octobre, le laboratoire ouvre ses portes lors de la Fête de la Science. Au programme : conférences, ateliers et jeux pour découvrir l'écologie et l'évolution !
Pourquoi certains individus vieillissent-ils plus lentement que d'autres ? Une étude menée par Hugo Cayuela, chercheur rattaché au LBBE parue dans PNAS journal révèle que le comportement migratoire des flamants roses module leur manière de vieillir : les individus qui migrent vivent un début de vie plus risqué mais vieillissent plus lentement que ceux qui restent sédentaires. Un questionnement ancien comme le souligne H.Cayuela : " Les scientifiques s'intéressent à la question du vieillissement depuis Aristote. C'est presque aussi vieux que la science elle-même !"
Le Laboratoire de Biométrie et Biologie Évolutive (LBBE) recrute un·e assistant·e ingénieur·e en élevage/expérimentation sur insectes, pour une mission de 13 mois à compter du 3 novembre 2025.
Récompensée cette année par une médaille de bronze du CNRS, Laure Segurel incarne une recherche qui relie les passés humains aux défis écologiques du futur. Au sein du LBBE, elle tisse des ponts entre génomique, écologie, anthropologie et santé, avec cette conviction qu’« un génome est un trésor d’informations, une histoire à raconter. »